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Une couronne tardive pour Guynemer
Par Luc Vanacker
Préface du Colonel Pierre Alain Antoine
(membre 2A)
Livre 17x24
88 pages
Prix de vente 14euro + 4euro port
Pour toute commande contacter Laurent Bailleul
La disparition de Georges Guynemer le 11
septembre 1917 dans le ciel des Flandres reste
enveloppée de mystère.
Qui a abattu cet as français détenteur de 53
victoires homologuées ? Vraisemblablement pas
l'aviateur Kurt Wissemann à qui l'on a attribué cette
victoire.
Où le Spad de Guynemer est-il tombé ? Au sud
de Poelkapelle, où l'on a retrouvé vers 1935 un
moteur d'avion ? Si c'est le cas, le lieu de la chute
figure sur une photo prise de cet endroit trois jours
plus tard.
Enfin, qu'est-il advenu du corps de Guynemer ?
Laquelle des quatre réponses officielles
allemandes correspond à la vérité ? Et quel crédit
accorder aux jeunes Belges qui ont vu le corps d'un
aviateur français "anonyme'' à la fin de l'été 1917 ?
Le présent ouvrage s'efforce pour la première fois
de reconstruire, à partir de documents inédits, ce
qui s'est passé du 11 au 14 septembre 1917.
Des terrains, des avions et des hommes
Une nouvelle rubrique qui vous permettra de
découvrir chaque mois un ensemble de photos sur
nos thématiques de recherche. Cette rubrique est
ouverte à tous, chacun peut y contribuer.
GERIN, un homme, un avion
GERIN V – 6 E « VARIVOL »
L’avion qui jamais ne vola
Le premier avion à géométrie variable, est construit
à Boulogne Billancourt par Jacques GERIN
ingénieur à la compagnie française d’aviation qui
était persuadé de concilier les contraintes
antagonistes.
Le but recherché était d’obtenir la vitesse en vol
maximum ; et une vitesse faible à l’atterrissage, en
modifiant l’envergure des ailes à surface variable.
La surface alaire obtenue par l’empennage d’un
biplan modulable sur son premier appareil ;
appendices sur lesquels se dépliait des stores sur
des baleines, « profil autostable » ; et par
l’allongement des ailes sur le second passait de 18
m2 à 4,4 m2 ailes rétractées.
Le problème rencontré à l’allongement était la
solidité du revêtement employé entre l’aile et le
fuselage qui se déchirait sous l’effet des pressions.
Malgré des résultats positifs en soufflerie le premier
modèle sera détruit accidentellement en vol en
1936. Les essais en soufflerie ont eux lieux sur
pylône à Chalais Meudon et à Issy les Moulineaux.
Lors des essais à Villacoublay, Jacques GERIN
déclara :
« La voilure me gêne, je la rentre. Elle me manque
pour atterrir, je la sors…… ».
Octobre 1936 revue « technica » N°44 (23-26 rue
de Moselle Lyon)